Gli obiettivi della presidenza tedesca dell’Unione Europea: «Insieme per il successo dell’Europa»

Abstract

The German Ambassador to Italy illustrates both the achievements and lack of alternatives of a European integration process that the French and Dutch referenda have stalled. He then spells out the agenda of the FRG’s EU presidency: restoring the momentum of the constitutional treaty, for which Berlin intends to be both «mediator and energizer»; providing «economic dynamism », including an energy policy, research and innovation, in order to improve the competitiveness of the Union, as well as the «social solidarity» of the European social model; reinforcing cooperation in the justice and home affairs issues, including immigration, integration and asylum; promoting the Union’s foreign and security aspects, in particular through its «good neighbourhood policy» along its Mediterranean and eastern borders, with Russia and the central Asian republics, and with respect to the crises in Afghanistan, Kosovo, Africa. Before concluding that «traditionally Italy and Germany have always taken the initiative in Europe». RÉSUMÉ - L’Ambassadeur d’Allemagne en Italie décrit les résultats et le manque d’alternatives qui se présentent à l’Europe, avant d’indiquer l’agenda de la présidence de l’Union Européenne qui incombe à la RFA: rétablir la marche du traité constitutionnel, un engagement pour lequel Berlin veut jouer le «rôle de médiateur et propulseur»; rétablir un «dynamisme économique» incluant une politique de l’énergie, de la recherche et de l’innovation qui améliore la competitivité de l’Union, ainsi que la «solidarité sociale» qui caractérise le modèle social européen; renforcer la coopération en matière de justice et affaires intérieures, incluant l’immigration, l’intégration et l’asyle; promouvoir une politique extérieure et de sécurité par le «bon voisinage» envers la Méditerranée et l’est, avec la Russie et les Républiques de l’Asie centrale et par rapport aux crises en Afghanistan, Kosovo et en Afrique. Avant de conclure que «traditionnellement l’Italie et l’Allemagne ont toujours pris l’initiative en Europe».