La sfida repubblicana contro Obama

Abstract

This November, the United States will elect the president who will run the country until 2016. On the ballot are the current president, Barak Obama, for the Democratic Party and his contester, the ex-governor of Massachusetts, Mitt Romney. Obama’s victory in 2008 seemed to show the will of the American people to break away from the past, particularly from G.W. Bush heredity, and to bring the country out of its economic crisis. Obama’s success was seen by many as a sign of the eclipse of American conservatism, an eclipse destined to last for some time. After four years, however, the democratic electoral promises remain unfulfilled due either to the weak leadership of the president, forced to compromise on controversial issues, such as the health care reform, or the increasing economic crisis. While Obama asks for another four years to fulfill his program of change, the Republican Party has gained strength and after the victorious mid-term elections of 2010, looks capable to compete for the White House. Mitt Romney got the nomination during the primaries, offering a vague and undefined platform of total opposition to Obama politics. Apparently Romney had to take into account the contrasts, present within the conservative circles, between extremists of the Tea Party movement and the more moderate positions of those who believe that the election will be won by convincing the moderate ‘swing’ voters. Even though American voters are usually considered predominately conservative, Romney faces an uphill challenge. The article attempts, through a critical examination of bibliographical sources, from newspapers, periodicals and the internet, to show strengths and weaknesses of the republican candidate and of the conservative position. At the end of the story, the Author agrees with the negative previsions of the majority of American analysts on the republican candidate’s chances of victory.Prochainement au mois de novembre les États-Unis d’Amérique éliront leur président d’ici à 2016. Les concurrents sont l’actuel président, Barack Obama, pour le parti démocrate et son challenger républicain, l’ex-gouverneur du Massachusetts Mitt Romney. Dans la victoire d’Obama en 2008 tout le monde a vu la volonté du peuple américain de rompre avec le passé, de liquider l’héritage de G. W. Bush et de sortir de la crise économique. Le succès d’Obama a été vu par beaucoup comme un signe de éclipse du conservatisme américain, une éclipse destinée a durer encore longtemps. Après quatre ans, cependant, soit à cause de la faiblesse de la leadership du président, forcé à des nombreux compromis pour mener à bien des changements controversés comme la réforme de la santé, soit à couse de l’aggravation de la crise économique mondiale, les promesses électorales démocratiques sont encore inachevées. Alors qu’Obama demande quatre années supplémentaires pour achever son projet de changement, le parti républicain a repris son élan et, victorieux aux élections de mi-mandat de 2010, semble être à même de renouveler le défi pour la Maison Blanche. Dans la compétition qui s’est développée au sein du parti républicain pendant les primaires, Mitt Romney a obtenu la nomination en présentant une vague et indéterminée plate-forme d’opposition totale à la politique d’Obama, qui tenait compte des contrastes présents dans le monde conservateur, divisé entre l’extrémisme du mouvement du Tea Party et les positions plus modérées de ceux qui croient que les élections seront gagnées en conquérant l’électorat du centre. Bien que l’électorat américain soit généralement considéré comme essentiellement conservateur, le défi de Romney semble ardu. Cet article vise, par l’étude critique des sources de la littérature, du journalisme et du réseau, à mettre en lumière les points de force et de faiblesse du candidat républicain et de la position conservatrice. En fin de compte, les chances réelles du candidat républicain ne semblent pas suffisantes pour renverser les prévisions négative de la majorité des analystes américains.PAROLE CHIAVE: Mitt Romney; Rick Santorum; Paul Ryan; Gop; Elezioni presidenziali americane.