Le linee ferroviarie: il ri-uso di un anti-common per la rigenerazione territoriale

Autori

  • Luigi Mundula Università di Cagliari - Dipartimento DICAAR
  • Luisa Spagnoli Istituto di Storia dell’Europa Mediterranea, Consiglio Nazionale delle Ricerche

DOI:

https://doi.org/10.13133/1125-5218.15052

Abstract

The railways: reuse of anticommons for territorial regeneration
The paper aim to reflect about the many Italian disused railways, which represent a
common good in all respects, whose re-use could trigger a virtuous cycle of territorial regeneration. In some circumstances, however, because of indeterminacy of the regulatory framework characterizing the ownership and management of the Italian railway network, this common becomes an anticommon, generating a situation of under-utilization of the resource itself. Once passed organizational and coordination deadlocks, the “railroad” can represent a territorial regeneration factor, but only if its management will be an asset of the local community.

Les Chemins de fer: la réutilisation des anticommons pour la régénération territoriale
L’objet de cet article est de mettre en lumière les chemins de fer italiens non-exploités qui représentent un bien commun (“Common”) et dont un nouvel usage pourrait entraîner un processus vertueux de requalification territoriale. Néanmoins, dans certaines circonstances, en raison du cadre règlementaire indéterminé caractérisant la propriété et la gestion du réseau ferré italien, ce “common” devient un “anti-common”, générant une sous-utilisation de la ressource elle-même. Une fois les situations de blocages administratifs surmontées, le ferroviaire peut représenter un facteur de
régénération territoriale, seulement dans la mesure où sa gestion devient un atout pour la collectivité locale.

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Pubblicato

2016-12-22

Fascicolo

Sezione

Articoli