Is exonym an appropriate term for names of features beyond any sovereignty?

Autori

  • Peter Jordan Austrian Academy of Sciences, Institute of Urban and Regional Studies

DOI:

https://doi.org/10.13133/1125-5218.15159

Abstract

Esonimo è un termine appropriato per i toponimi utilizzati in contesti extraterritoriali?
Questo contributo riflette sull’estensione del termine esonimo a luoghi che non rientrano in una sovranità nazionale, come ad esempio le “acque internazionali”.
Dopo aver fornito la definizione di alcuni termini di base, si analizza inizialmente il punto di vista di Naftali Kadmon (Kadmon, 2007), il quale sostiene che i nomi marittimi in un certa lingua possono essere considerati endonimi all’interno delle acque territoriali di uno Stato, ma si trasformano in esonimi nelle acque territoriali di altri Paesi. Nelle acque internazionali non possono quindi esistere degli endonimi. In assenza di un endonimo non si può quindi definire neanche un esonimo. Per Kadmon ne “consegue che vi è la necessità di un nuovo termine da aggiungere al Glossario dei termini per la normalizzazione dei nomi geografici , vale a dire un termine che tenga conto dell’uso fatto del toponimo in un contesto di acque internazionali” (Kadmon, 2007, p. 4).
L’articolo si concentra poi sulle idee di Paul Woodman (Woodman, 2009a) secondo il quale lo “stato terminologico” di un nome in una lingua non può cambiare per una particolare caratterizzazione, non può essere cioè contemporaneamente un endonimo e un esonimo, il che significa che per tutte le lingue ufficiali o ben consolidate di paesi costieri, un endonimo di mare è tale sia nelle acque territoriali sia in quelle internazionali. Analogamente, nelle lingue non ufficiali o non ben consolidate di paesi costieri i nomi di mare saranno tutti esonimi proprio per la mancanza di un endonimo da “contrapporre”. L’Autore propone finalmente una sintesi di queste due visioni contrastanti.

Exonyme est-il un terme approprié pour les noms des caractéristiques au-delà de toute souveraineté?
Ces papiers traitent avec la question, si le terme exonym des couvertures objets aussi au-delà d’une souveraineté comme des eaux internationales.
Après les définitions de quelques termes principaux il discute à l’avis de premier Naftali Kadmon (Kadmon, 2007), qui soutient que des noms maritimes dans une certaine langue étaient endonyms dans ces parties d’une mer, sur laquelle un pays dans lequel cette langue est officielle ou bien établi exerce une sorte de juridiction, c’est-à-dire ses eaux territoriales, et la tournure dans exonyms dans les eaux territoriales d’autres pays. Dans des zones de mer au-delà de n‘importe quelle juridiction nationale, c‘està-dire des eaux internationales, le nom pour la mer ne respecte aucun endonym. Cela signifie pour lui que le nom ne peut pas être nommé exonym. Pour Kadmon il “le suit il y a un besoin d’un nouveau terme à être ajouté au Glossaire de Termes pour la Standardisation de Noms Géographiques, à savoir le statut d’un toponyme pour un objet maritime dans des eaux internationales” (Kadmon, 2007, p. 4).
Le papier se réfère alors à l’avis de Paul Woodman (Woodman, 2009a) qu’un nom dans une langue pour un objet ne peut pas changer du statut terminologique, ne peut pas simultanément être un endonym et un exonym, ce qui signifie que tout l’officiel de langues ou bien établi dans les pays côtiers d’une mer est endonyms pour l’objet entière, c’est-àdire
pour la mer en entier, aussi pour des eaux internationales. Les noms dans des langues pas l’officiel ou non bien établi dans des pays côtiers ont selon lui le statut d’exonyms partout la mer, aussi dans des eaux internationals. Des noms dans des langues pas l’officiel ou non bien établi dans des pays côtiers n’a selon lui le statut d’exonyms partout la mer, aussi dans des eaux internationales, depuis nulle part la contrepartie d’un endonym manque.
Le papier finit avec une synthèse de ces deux vues contrastantes postulant que tandis qu’il ne devrait en effet y avoir  rien en plus du fossé d’endonym/exonym (après Woodman), le statut endonym d’un nom pour une mer est limité ces parties, pour lesquelles la communauté utilisant le nom se sent responsable ou avec émotion affectée – qui est près de l’avis
de Kadmon. Cela laisse les parties d’une mer, c’est-à-dire des eaux plus ou moins internationales, pour lesquelles aucun nom n’est un endonym. Mais ceci ne cause pas de problème pour le statut exonym de noms de dehors, puisqu’un exonym n’exige pas la contrepartie d’un endonym.

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Pubblicato

2014-11-16