Il terremoto del 6 aprile 2009 e gli studi di Microzonazione Sismica per la ricostruzione dell’area aquilana

Autori

  • Sergio Castenetto

DOI:

https://doi.org/10.13133/1125-5218.15195

Abstract

The April 6th 2009 earthquake and the studies of Seismic Microzonation
for the re-construction of the L’Aquila zone
During the night of April 6, 2009, a severe earthquake (Mw=6.3) struck the
L’Aquila region (central Italy). In the epicentral region the death toll reached
308, most in the town of L’Aquila. The maximum intensity was 9-10 MCS
(Mercalli-Cancani-Sieberg scale). Most of the damage and collapses involved
rubble-stone and/or masonry buildings, especially those which had been overloaded with non-collaborative R.C. roofs. After an earthquake, the observation of damages on constructions and infrastructures often highlights substantial differences in different built-up areas, even at a short distance between them.
In the case of the L’Aquila earthquake, these situations were found in many localities. Often, causes are linked to the local seismic risk, determined by the different earthquake propagation or by the instability of the soil. These considerations are part of the studies of Seismic Microzonation, through which it is possible to identify and characterize stable areas, which are susceptible to local amplification, and areas subject to instability, such as landslides, surface fractures and soil liquefaction.
Keywords
L’Aquila, earthquake, seismic microzonation, seismicity.

Le tremblement de terre du 6 avril 2009 et les études de Microzonation Sismique pour la reconstruction de l’aire de L’Aquila
La nuit du 6 avril 2009 un fort tremblement de terre (Mw=6,3) frappe le territoire de L’Aquila (Italie centrale). Dans l’aire épicentrale les victimes sont 308, la plupart dans la ville de L’Aquila. L’intensité du séisme équivaut à 9-10 degrés MCS (échelle Mercalli Cancani Sieberg). Les dégâts les plus importants et les effondrements intéressent surtout les édifices en pierre et en maçonnerie, en particulier ceux surchargés avec des toits lourds en béton armé. Après un tremblement de terre, l’observation des dommages sur des bâtiments et sur les infrastructures met souvent en évidence des différences substantielles dans les diverses agglomérations urbaines, même dans celles séparées par des brèves distances.
À l’occasion du tremblement de terre de L’Aquila, ces situations ont été
observées dans plusieurs localités. La cause de cela est souvent liée à la diverse
dangerosité sismique locale, déterminée par la différente propagation des
vagues sismiques ou par l’instabilité du sol. Ces évaluations font partie de détaillées études sismiques, à travers lesquelles il est possible de déterminer et de caractériser les zones stables, susceptibles d’amplification locale et les zones sujettes à instabilité, comme par exemple éboulements, fractures de surface et
liquéfaction du sol.
Mots-clés
L’Aquila, études sismiques, sismicité, tremblement de terre.

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Pubblicato

2012-01-13