Lo scenario di danneggiamento delle costruzioni dell’Aquila a seguito del terremoto del 2009

Autori

  • Bruno Calderoni
  • Aurelio Ghersi
  • Pietro Lenza

DOI:

https://doi.org/10.13133/1125-5218.15196

Abstract

The damages scenario of buildings in L’Aquila after the earthquake of 2009
The behaviour of buildings during a strong seismic event, like the one of L’Aquila, 2009, is strictly connected to their typology and to the material used. Masonry buildings may be subdivided into three classes. The first and second class, which correspond to the older buildings, present ineffective connections and, as a consequence, a strong vulnerability connected to the risk of out-of-plane collapse. The buildings of the third class are characterised by horizontal connections which prevent such a risk; their vulnerability is much lower and the collapse corresponds to the in-plane failure of walls. Reinforced concrete buildings, when not designed to resist seismic actions, may undergo the loss of a single storey, because of the slip between column and beam made easier by
the concentrated actions of perimeter walls. Another important damage, peculiar
to the L’Aquila earthquake, has been the loss of perimeter walls, which
were partially external to the structure in order to reduce thermal effect.
Keywords
L’Aquila, masonry building, r.c. building, seismic damage, seismic vulnerability.

Le scénario d’endommagement des constructions de L’Aquila suite
au tremblement de terre de 2009
Le comportement des édifices pendant un événement sismique fort comme celui
de 2009 à L’Aquila, est fortement conditionné par leur typologie structurelle
aussi bien que par les matériaux utilisés. On peut classer les édifices en maçonnerie en trois groupes. Ceux de la première et deuxième classe, en général plus anciens, présentent des parois non opportunément reliés par des structures horizontales et ils montrent donc une vulnérabilité considérable, due à la possibilité que les murs collapsent hors de leur étage. Les édifices de la troisième classe présentent des liaisons plus efficaces qui empêchent un tel comportement; par conséquent, leur vulnérabilité est moindre et le collapsus est lié à la majeure ou mineure résistance des murs dans chaque étage. Les édifices en béton armé, non projetés pour supporter une action sismique, ont montré dans plus d’un cas la perte d’un étage, à cause du glissement poutre-pilier favorisé par l’action des rembourrages externes. Une autre importante cause de dégâts, typique de l’événement de L’Aquila, est aussi la perte des rembourrages extérieurs, parce que ceux-ci étaient partiellement en dehors de la structure afin de réduire les effets thermiques.
Mots-clés
L’Aquila, dommages sismiques, édifices en béton armé, édifices en maçonnerie,
vulnérabilité séismique.

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Pubblicato

2017-01-13