Rischi e potenzialità ambientali per la città in crisi

Abstract

Urban areas are affected by a hard competition to be included in the
world city hierarchy of strong economy areas. To support the fragile
economies of cities, led by globalization dynamics and “free market”
rules, many local administrations promote big investments in new commercial
and residential areas, resulting in urban sprawl, progressive erosion of
natural and rural areas and decreasing of environmental quality. Rethinking
the economy of the city can instead be an important opportunity to promote
sustainable strategies in urban areas, based on the designing of green areas,
as ecological networks, and on the renovation and re-use of brownfield sites.
In this paper two case studies are presented: Berlin and Amsterdam.

Les villes sont en permanente compétition pour occuper des positions
importantes au sein de la hiérachie urbaine mondiale. Pour promouvoir
les économies des villes, mises en crise par la globalisation et par le
durcissement des règles du marché libre, de nombreuses administrations locales
misent sur/visent la construction de nouvelles aires commerciales et
résidentielles, avec des conséquences négatives sur le sprawl urbain/sur l’expansion urbaine anarchique, sur l’érosion des aires agricoles et naturelles, et
sur la qualité environnementale. La nécéssité de repenser l’économie des
villes peut, au contraire, être une opportunité à saisir pour promouvoir des
stratégies urbaines (soutenables) de développement durable, basées sur le
projet de zones vertes, sur la construction de réseaux écologiques et sur la
requalification des aires/la reconversion d’aires (qui ne sont plus utilisées/
abandonnées) désaffectées. La revalorisation de la composante environnementale de la ville peut donc être un instrument pour dépasser la crise et relancer les activités économiques (de manière défendable) en terme de développement durable, comme le démontrent les deux études de cas présentées dans ce travail: Berlin et Amsterdam.