Les villes fortifiées de la République de Venise : ressource pour le tourisme réticulaire s-Low
DOI :
https://doi.org/10.13133/2784-9643/17480Mots-clés :
villes fortifiées, territoires en réseau, mappingRésumé
Au cours des XVIe et XVIIe siècles, la République de Venise domina les territoires ita-liens de la terraferma et de la côte orientale adriatique au moyen de formes de contrôle commercial présupposant la fortification des ports et des villes frontalières. A partir du système des villes fortifiées récemment reconnues (2017) comme Patrimoine mon-diale de l’humanité par l’UNESCO, l’article vise à analyser ce réseau et, en prenant en considération aussi d’autres villes côtières présentant des traces de constructions défensives «à la moderne», vise à inclure ces éléments dans un réseau touristique défini comme s-Low. En effet, la valorisation du patrimoine culturel et naturel dans une perspective s-Low favorise la poursuite d’actions visant à promouvoir la valori-sation des particularités territoriales, en promouvant une planification touristique partagée dans une modalité réticulaire et durable. Cette typologie touristique fondée sur la valorisation de ressources au travers de leur mise en réseau, a été proposée par le Centre d’étude sur le territoire DiathesisLab de l’Université de Bergame. Ce labo-ratoire de cartographie utilise des méthodes et des instruments de mapping afin de diffuser un modèle de tourisme durable.
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(c) Tous droits réservés Semestrale di studi e ricerche di geografia 2021
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