L’etica dell’informazione nelle relazioni internazionali
Keywords:
Etica nell’informazione, Etica nelle relazioni internazionali, Garanzia internazionale dell’informazione, Etica e politica, Parabola mediaticaAbstract
Every day, the world watches innumerable newspapers and a flood of information reaching the public at large, nevertheless one is unable to receive information that is ethically sound. This contradicts the imperative of truth, sacrificed, to a mislaid sense of freedom of information that conceals its own abuse and impedes a common ethical effort to overcome the divisions of nationality, class, culture and religion. A falsehood intervenes between the real needs of the masses and the regimentation of consensus by way of the media and this requires that the instruments of information be reorganized. Difficult as it is, it needs a clear and proper international guarantee, but even this might not suffice to guarantee against the global division that impede a worldwide recognition of common shared values. Though the problem has long been felt at international forums, like the UN and the UNESCO, at the European level such as at the European Council and the European Union, it has never found radical solutions, except that one fact has come to the forefront: the potential for truth latent in the means of communication and the distorting influence they often exercise. However slow it may be an evolution may be noted in the analyses undertaken by great centres of study in the relevant fields, at least in the perception of the need for a shared global ethos that restores to man the possibility to know objective truths. Reaching the threshold of a ‘media-based parable’ that might join ethics to politics would require the fusion of a common individual intention and the system of collective national and global relations in which it operates. RÉSUMÉ - Chaque jour, le monde voit se déverser sur le public un nombre incalculable de quotidiens et une avalanche d’informations; et malgré cela, il n’arrive pas à avoir une information éthiquement fondée. Cela va bien sûr à l’encontre du devoir de vérité, sacrifié à un sens, bien mal interprété, de la liberté d’informer qui s’apparente souvent à l’abus et empêche tout effort éthique en commun pour dépasser les divisions qu’elles soient de nationalité, de classe, culturelles et religieuses. Entre le besoin réel de la masse et l’indoctrinement médiatique du consensus naît une falsification qui impose aux organes d’information des devoirs précis de réinterprétation. Mission bien ardue qui implique une réelle garantie mondiale, tout aussi difficile à obtenir en raison des désaccords qui interdisent toute reconnaissance, au niveau international, de valeurs communes. Ce problème, bien connu depuis longtemps par les grandes institutions internationales, comme l’ONU et l’UNESCO, ou européennes comme le Conseil de l’Europe et l’Union européenne, n’a jamais pu vraiment connaître de réponse complète, à l’exception d’une constatation: le potentiel de vérité qu’auraient les organes de communication et l’orientation déformante que souvent ils assument. Cependant, aussi lente soit-elle, on peut constater une certaine évolution à travers les analyses menées par les centres d’études, tout au moins dans la perception d’un besoin global et commun d’ethos, qui aboutisse pour l’homme à la possibilité de reconnaître des vérités objectives. Le souhait d’un tournant dans la ‘parabole médiatique’ qui lie l’éthique à la politique passe par la reconnaissance commune de l’individu et du système de relations collectives nationales dans lequel il évolue.Downloads
Published
29-10-2007
How to Cite
Vedovato, G. (2007). L’etica dell’informazione nelle relazioni internazionali. Rivista Di Studi Politici Internazionali, 73(3). Retrieved from https://rosa.uniroma1.it/rosa00/index.php/studi_politici_internazionali/article/view/118
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Articoli